➢ The chaos defies imagination.


 
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 ➢ The chaos defies imagination.

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⋄ annyeong haseyo; i'm
Lee Jae Sung

Lee Jae Sung

☆ lovely pawns.
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Ϟ pseudo : Peanut

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MessageSujet: ➢ The chaos defies imagination.   ➢ The chaos defies imagination. EmptyMer 24 Oct - 5:12


Lee Jae Sung.
look at me now !

안녕하세요! mon nom à moi c'est Lee Jae Sung et je suis né(e) le 8 Juin 1993 à Brisbane, Australie, ce qui fait que j'ai 19 ans. actuellement je suis étudiant en deuxième année en langues étrangères, eh oui ! d'ailleurs, mon porte monnaie se porte plus ou moins bien puisque je suis riche. sinon, j'ai une petite sœur, je suis inventé et j'aimerai être Troublemaker

si j'étais...
un péché :
L’Orgueil.
un élément :
L’Eau.
un objet :
Une Lame.
un animal :
Un Vautour.
une couleur :
Le Rouge.
une saison :
L’Automne.
un sentiment :
La Haine.
through my mind.
Non, mais tu t’es regardé avec ta mentalité de petit con éternellement insatisfait de la vie ? Tu as cette attitude de mauvais garnement depuis ce qu’il t’est arrivé. Tu sais, c’est la vie. C’est comme ça. Tu n’y peux rien. Tu n’as pas besoin de faire cette tête, souris un peu. Tes amis de longues dates se demandent encore aujourd’hui ce qui a bien pu se passer pour que tu changes aussi rapidement du jour au lendemain. À mes souvenirs les plus précieux, tu étais un brave petit gars prêt à tout pour aider ceux qui te sont chers. Peut-être, est-ce que parce qu’on t’a poignardé à plusieurs reprises dans le dos en guise de remerciement que tu es devenu aussi ingérable ? Tu adorais ça, écouter les autres. C’est l’une des facultés que l’on t’a toujours envié et qui te faisais grandir mentalement. Tu as appris des autres, de la vie malgré les quelques personnes qui te cherchaient les ennuies. Ça, tu as toujours su ne jamais te laisser faire. Tu n’as jamais eu besoin d’appeler des amis pour t’aider à combattre ceux qui te mettaient des bâtons dans les roues. C’est sans doute à cause de ça que tu as obtenu une petite réputation de mec à ne pas emmerder. Mais au fond, je le sais que tu n’es pas aussi mauvais que tu ne le prétends, tu n’as jamais été comme ça, ça n’a jamais été dans ta nature. Avant, tu étais souriant, joyeux, bavard et une personne très agréable à fréquenter, je sais que c’est juste que tu as un peu oublié cette partie de toi qui est si sympathique pour une facette qui se montre détestable. Aujourd’hui, tu sembles froid. Distant. Tu es devenu bien trop solitaire pour pouvoir apprécier ceux qui souhaitent t’entourer et te faire sortir de cette situation qui ne te ressemble pas. Tu as des amis, comme tout le monde, c’est une obligation, mais ils ont beaucoup de mal à te cerner désormais. Ils ne savent jamais comment agir en ta présence de peur de se faire violemment envoyer balader. L’indifférence te possède. La colère te rend impossible à vivre. Tu m’éprise beaucoup de monde tout en commençant par une, peut-être, deux personnes de ta famille. La seule personne a qui tu ne reproches absolument rien, c’est ta petite sœur. C’est ta princesse. Ta raison. Ta vie. Sans elle, tu serais sûrement devenu fou. Elle, au moins, elle t’apaise. Ta haine s’estompe de cette manière et ça en impressionne certains qui te connaissent réellement. Ton apparence est effrayante. Ton cœur est de pierre, mais tu demeures être quelqu’un de très mystérieux envers les petits nouveaux qui jettent un premier regard sur toi. Pour eux, tu es celui sur qui il ne faut surtout pas toucher, effleurer, énerver ou même oser regarder profondément dans les yeux. Tu es un vrai mystère. À l’école, tu n’as jamais eu besoin de t’enrichir, tu étais déjà très doué lorsque tu étais petit. Tu atterrissais dans les premières places aussi bien sur tes bulletins scolaires que sur certains concours organisés par les différents établissements scolaires que tu as pu fréquenter au cours de ta vie.
open your eyes;;
« I don ‘t understand when facing me »
« Sun…gie ! Sungie ! »

Je l’entendais pleurer, mais je ne réagissais pas. Je marchais sans me retourner. Je n’osais pas. Il ne fallait pas. Ça me brisait le cœur de ne pas la regarder une dernière fois et de lui dire que j’étais profondément désolé, mais que je reviendrais. J’avais été méchant et j’avais agis d’une manière immature, encore une fois. Après tout, ce n’était pas la première fois que mes parents me foutaient à la porte avec de quoi tenir pendant deux, trois jours dans la nature avant de revenir à la maison comme si de rien n’était et que d’avoir aperçu cette vie de sans abri ait pu me servir de leçon. Quand j’y pense, ça me fait sourire puisque lorsque j’étais enfant, j’étais bien trop couvé, mais ça, je vous en parlerais plus tard. Je me vengeais, mais ils n’avaient pas finit par comprendre que de m’envoyer dans les pensionnats les plus stricts n’allaient rien changer à ma façon de vivre. Cette image infecte que je me suis construit, ce n’est que celle de leur fruit, celle qui désirait voir apparaître depuis tant d’années. Ils avaient cherchés à me transformer sans se rendre pleinement compte du résultat de leurs actes. Ils avaient cherchés à me haïr. Ils avaient cherchés beaucoup de choses. Mais tout cela se retourne contre eux aujourd’hui et j’en suis bien content.

Pourtant, lorsque j’avais pointé la première fois le bout de mon nez dans cette famille ayant les poches blindées de frics, j’avais clairement compris que j’avais été un enfant désiré. Beaucoup trop. Peut-être qu’ils pensaient sûrement que je serais le parfait petit garçon à sa maman et son papa tout en étant impeccablement habillé, poli, aimable. Trop même. Mais ça n’a était le cas que lorsque j’étais qu’un enfant innocent. La première fois que j’avais jeté la pierre à mes parents, c’était lorsqu’ils avaient prit cette décision. Celle de partir de Brisbane, ma ville natale. Là-bas, j’avais tout construit, j’avais des amis, j’étais apprécié aussi et on m’aimait pour ce que j’étais et on m’adorait d’avantage parce que j’avais l’air assez cool avec mes origines et que j’avais certainement pleins de trucs sympas à leur apprendre. Mais en partant de cette ville, j’oubliais un peu tous ces mauvais souvenirs. L’atout d’être né à l’autre bout du monde et d’avoir des parents d’une nationalité différente de ce pays, c’est d’être bilingue dès les premiers jours de votre vie. Il le fallait bien après tout si je ne voulais pas être perdu parmi ceux qui m’entouraient aussi bien dans la rue qu’à l’école. J’avais dix ans lorsque nous sommes rentrés en Corée du Sud et dès les premières minutes où j’avais posé les pieds sur cette nouvelle terre, je savais que ma vie allait changer. Les gens étaient différents, beaucoup trop et je ne parvenais plus à savoir si mes gestes étaient corrects ou non, mais mon caractère se transformait petit-à-petit sûrement pour faire regretter ce qu’on m’avait fait subir. Pour remédier à tous ces problèmes dont mes parents n’avaient pas particulièrement le temps de s’occuper, il était plus convenable pour eux de me foutre dans une école privée réputée pour sa réussite et les excellents élèves qui s’y trouvent, mais c’était à partir de ce jour là aussi que j’ai commencé à détester les gens. Les filles étaient ignobles. Les mecs étaient de vrais salauds. Je n’y trouvais pas ma place et à plusieurs occasions, on aurait souhaité me casser la gueule dans la cour d’école ou au détour d’un couloir. Cependant, même en me forgeant dans un mutisme qui ne faisait qu’accentuer ma haine et même en tentant de m’emmerder à plusieurs reprises, je réussissais à leur faire comprendre que je n’étais pas leur pantin, que je ne le serais jamais.

Depuis ce jour, j’étais crains et on me haïssait pour avoir ce franc parlé qui avait tendance à en clouer plus d’un au sol. Heureusement pour moi, deux ou trois personnes parvenaient à sortir du lot et ils avaient trouvés les bons mots pour me rassurer et vouloir se positionner à mes côtés. Seulement, je n’étais plus cet élève modèle et des plus remarquables et plus le temps passait, plus je devenais infernal et surtout l’un des plus mauvais. À force des multiples convocations et mes paroles qui faisaient sous-entendre mon désaccord pour ne pas faire parti de cette bande de moutons de la société, mes parents bien trop honteux m’avaient fait changer d’école. Une fois. Deux fois. Peut-être trois, je ne m’en souviens plus très bien. C’était à croire qu’ils aimaient encore me torturer, mais ils ne parvenaient pas à me faire comprendre que si je continuais dans cette voie, je deviendrais un moins que rien, mais ça devenait un véritable plaisir de les emmerder et je continuais un petit peu plus en rejoignant une petite bande de trafiquants, mais qui n’avait rien de très dangereux. Seulement, les flics qui viennent à vous poursuivre un soir et que vous vous retrouvez au poste, vous savez très bien que ça va les faire rager et ça vous amuse plus que ça ne vous effraie. Pour eux, pour leurs images, pour leur statut social particulièrement élevé, c’était un profond déshonneur et j’en étais fier comme un pacha. Je jouais au petit con et je leur montrais à quel point j’en étais venu à les détester.

Comme on le dit souvent, il y a une raison à tout cela. J’en ai une aussi. J’aurai préféré ne pas en dire un mot, mais parfois, il vaut mieux en parler pour que ce poids se libère de mes épaules. Durant trois ans lorsque l’on vivait encore en Australie, ma mère était devenue bien trop protectrice et légèrement paranoïaque vis-à-vis du monde qui nous entourait. Pour mon bien, elle n’avait rien trouvé de mieux à faire que de m’enfermer vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept dans ma chambre. Elle me séquestrait. Si j’avais le malheur d’en sortir sans son accord, je me faisais sévèrement punir. Mes joues s’en souviennent encore. J’étais resté enfermé pendant de longues semaines, de longs mois sans que personne ne s’en soucis. Mon père, ce vieux soumis n’affirmait rien et aux yeux des amis proches de notre famille, j’étais simplement un pauvre gamin qui était souvent malade. Personne ne me voyait et je vivais mal le fait qu’aucune de ces personnes ne viennent m’aider. Lorsque j’étais parvenu à remettre les pieds dehors, je revivais et aujourd’hui, je m’amuse quelques fois à partir durant quelques jours, profitant de cette liberté qu’on m’avait retirée, mais depuis un certain temps j’évite de trop faire le mariole et de fuguer de cette façon, tout ça pour protéger celle qui m’est sacrée. Ma petite sœur. J’ai cette trouille qui m’arrache le ventre à chaque secondes où je la laisse seule avec ces deux fous et qu’ils en viennent à reproduire la même chose avec elle voire même pire. Je ne me le pardonnerais jamais s’il lui arrivait quelque chose entre leurs mains.





Peanut ★

tout d'abord, je tiens à dire que je ne suis pas un monstre puisque je vis en France. sinon dans la vrai vie j'ai 23 ans et, sur le forum, je jouerai Lee Ki Seop [Ki Seop] | U-KISS. d'ailleurs, j'ai connu stfu par partenariat, et j'en suis très fier(e) ! je pense pouvoir me connecter environ 4 fois par semaine. par rp, je dois faire environ ~ entre 800 et 1000 mots en moyenne, c'est pas mal, hein ? le mot magique est ok, by doo. et, pour finir, voici le mot de la fin : un commentaire ? ♥


Dernière édition par Lee Jae Sung le Jeu 25 Oct - 18:50, édité 8 fois
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Kwon Ji Na

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Ϟ pseudo : alysha

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MessageSujet: Re: ➢ The chaos defies imagination.   ➢ The chaos defies imagination. EmptyMer 24 Oct - 20:34

Bienvenue parmi nous ♥
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Im Danika

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MessageSujet: Re: ➢ The chaos defies imagination.   ➢ The chaos defies imagination. EmptyJeu 25 Oct - 1:05

    ooh. j'aime bien ton avatar. *-*
    bienvenue sur stfu !

    bonne chance pour la suite de ta fiche et si tu as un soucis, n'hésites surtout pas !
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⋄ annyeong haseyo; i'm
Im Danika

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MessageSujet: Re: ➢ The chaos defies imagination.   ➢ The chaos defies imagination. EmptyJeu 25 Oct - 21:19

Mes félicitations !

Hier, tu étais tout petit comme ça et aujourd'hui tu es une grande personne. C'est fou comme les enfants grandissent vite et deviennent ingrats. Ta fiche est à présent validée ! Tu fais maintenant partie des troublemakers, tu t'y sentiras bien et tu t'y feras pas mal d'amis, je te le promets. Commence d'abord par te créer une fiche de lien pour te construire un réseau d'amis. N'oublies pas d'aller faire une demande de logement, de multimédia et si tu es étudiant, c'est ici que l'on s'occupera de toi, mais après c'est juste un conseil, à présent tu es grand. Enfin bon, amuse-toi ici, mon cher petit, le flood et la chatbox sont à ta disposition. Tu as beau avoir grandi, j'ai l'impression que tu auras toujours besoin de moi.
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